Les temps changent...

08-01-2012 à 21:40:18
J'vais modifier directement le texte, alors revenez chaque jour pour en découvrir plus...
"Il faut une vie pour un tuer une autre, mais rien ne vaut achever une vie sans dépenser la sienne."
Ernest Bradeau.
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09-01-2012 à 06:50:31
** Prologue **
"Eh ! Richard, auriez-vous l'amabilité de venir voir cet étrange phénomène ?"
"J'arrive Scott, ne me pressez pas de la sorte, j'arrive !
Les deux hommes, arrivèrent dans une petite salle. Les murs de grès étaient froid et l'air était étrangement réchauffé. Quatre canaux partaient des quatre coins de l'endroit pour se rassembler en une coupole placée au centre exacte, selon les spécialistes, de la chambre. Richard regarda à tous les recoins. Il inspecta toute parcelle de terre et de roche de cette salle sans trouver une explication concrète à ce qu'il se passait au centre de la coupole. Quatre pierres, roulaient, synchronisées dans le petit bol.
Scott s'avança vers la ronde rocheuse. Il s'agenouilla et examina les artefacts. Richard, de son coté, était comme plongé dans un autre monde. Il découvrait à chaque seconde un petit détail rendant la chambre plus spectaculaire qu'à son arrivée. Il tâtait les murs, reniflait les fentes pour sentir un courant d'air très léger, mais bien présent.

"Dites Richard ?"
"Qu'y-a-t-il Scott ?"
"Savez vous ce qu'il se passera si j'enlève les billes de plomb ?"
"Tiens, ce ne sont pas de vulgaires reliques ?"
"Répondez à ma question d'abord."
"Eh bien mon cher, je n'en ai pas la moindre idée, et si vous connaissez la réponse, pourquoi ne pas me l'avouer ?"
"Parce que c'est bien mieux de vous montrer."
"Fort bien, faites, je vous observe."

Richard sorti un petit carnet, et marqua la date ainsi que son observation. Scott enfila des gants de cuir très résistants ainsi qu'un long manteau de cuir très inconfortable mais "rassurant". Il plongea la main dans la coupole. Il attrapa une bille, puis deux, puis trois. Il les rangea dans son sac. Il attrapa la quatrième, qui continuait de tourner, sans ses camarades.
Une secousse se produisit alors, d'abord faible mais elle s'intensifia au fur et à mesure. Tous les servants s'enfuirent mais Scott et Richard restèrent, prêts à tous noter et relever.

"Je crois que la chambre va changer de forme, qu'en dites-vous Richard ?"

Richard se tût, il regarda les murs ébranlés par tant de puissance avec dépit. Pourquoi ne pouvait-il pas s'enfuir lui aussi ?
Au moment ou Scott se releva, la secousse s'arrêta, et la lourde porte en pierre coulissa et enferma les deux scientifiques.
Les pierres sortirent du sac, roulèrent jusqu'à Richard, scintillèrent et disparurent avec l'homme en un éclair lumineux.


"Il faut une vie pour un tuer une autre, mais rien ne vaut achever une vie sans dépenser la sienne."
Ernest Bradeau.