Silence — 03/04/2010
Les brûlures de tes mots
Gravées sur ma peau
Blessures de ton silence
Une si longue absence
Des sons pour des armes
Un mot pour une larme
Oublie enfin tes poings
Et mes yeux éteints
Tout ce qui me blesse
Tes yeux sans tendresse
Tes mots et ton calme
Tout ce qui m'abîme
Les brûlures de tes mots
Gravées sur ma peau
Blessures de ton silence
Une si longue absence
Des sons pour des armes
Un mot pour une larme
Oublie enfin tes poings
Et mes yeux éteints
Tout ce qui me blesse
Tes yeux sans tendresse
Tes mots et ton calme
Tout ce qui m'abîme
Tes mots — 05/01/2010
L'âme de tes mots
L'âme, la lame
Cause mes maux
Toutes mes larmes
Un précieux silence
La seule arme blanche
Ne verra pas le sang
Ni mes sentiments
Ton sourire glacé
L'amour abandonné
Des coups de poings
Ne sont pas feints
L'âme de tes mots
L'âme, la lame
Cause mes maux
Toutes mes larmes
Un précieux silence
La seule arme blanche
Ne verra pas le sang
Ni mes sentiments
Ton sourire glacé
L'amour abandonné
Des coups de poings
Ne sont pas feints
une date antérieure
Une douce brise,
Feuilles mortes,
Fraîche automne.
Mélancolie.
Une douce brise,
Feuilles mortes,
Fraîche automne.
Mélancolie.
une date antérieure
Quand la vie s'échappe,
Elle passe rapidement,
Tend la main et attrape
La pomme dorée des ans.
Quand la vie s'échappe,
Elle passe rapidement,
Tend la main et attrape
La pomme dorée des ans.
il y a longtemps
Obscurité de la nuit,
Quand tu m'engloutis,
Je le sens qui revit,
Pourtant il est parti.
Bruits dans l'obscurité,
Quand vous me possédez,
Je l'entends qui renaît
Pourtant il nous a quitté.
Fraîche odeur de la nuit,
Quand en moi tu fourmilles,
Je le vois qui sourit,
Mais il n'a plus de vie.
Quand il s'est envolé,
La nuit l'a emporté,
Ils l'avaient assassiné,
Sous le ciel étoilé.
Obscurité de la nuit,
Quand tu m'engloutis,
Je le sens qui revit,
Pourtant il est parti.
Bruits dans l'obscurité,
Quand vous me possédez,
Je l'entends qui renaît
Pourtant il nous a quitté.
Fraîche odeur de la nuit,
Quand en moi tu fourmilles,
Je le vois qui sourit,
Mais il n'a plus de vie.
Quand il s'est envolé,
La nuit l'a emporté,
Ils l'avaient assassiné,
Sous le ciel étoilé.
28/09/2009
Si tu crois petit,
A leurs infamies,
Regarde, regarde.
Tous ces champs
Où je rêvais enfant
Que le monde avance
Accélère la cadence.
Si tu crois, petit,
A ces calomnies,
Regarde, regarde.
Les feuilles tombent
Dans une hécatombe
Et le monde recule
Comme crève la bulle.
Si tu crois, petit,
A leurs ignominies,
Regarde, regarde.
Ces pétales de fleurs,
Reflétant les peurs
Et le monde s'arrête
La fin d'une planète.
N'y crois pas, petit,
A ce monde où tu vis,
Regarde, regarde.
Les larmes qui coulent,
Les années s'écoulent
Alors change les choses,
Si seulement tu l'oses.
Si tu crois petit,
A leurs infamies,
Regarde, regarde.
Tous ces champs
Où je rêvais enfant
Que le monde avance
Accélère la cadence.
Si tu crois, petit,
A ces calomnies,
Regarde, regarde.
Les feuilles tombent
Dans une hécatombe
Et le monde recule
Comme crève la bulle.
Si tu crois, petit,
A leurs ignominies,
Regarde, regarde.
Ces pétales de fleurs,
Reflétant les peurs
Et le monde s'arrête
La fin d'une planète.
N'y crois pas, petit,
A ce monde où tu vis,
Regarde, regarde.
Les larmes qui coulent,
Les années s'écoulent
Alors change les choses,
Si seulement tu l'oses.
09/10/2009
Comme l'oiseau prisonnier
Qui voudrait s'envoler,
Je continue de rêver
Que je peux m'échapper.
Et l'oiseau prisonnier,
Il arrête d'essayer ;
Je continue d'espérer
Qu'ils sont à mes côtés.
Mais l'oiseau prisonnier
Commence à désespérer ;
Je continue de rêver
Que je pourrais m'en aller.
Comme l'oiseau prisonnier
Que la vie vient de quitter ;
Moi, j'arrête d'espérer
Je peux plus que pleurer.
Comme l'oiseau prisonnier
Qui voudrait s'envoler,
Je continue de rêver
Que je peux m'échapper.
Et l'oiseau prisonnier,
Il arrête d'essayer ;
Je continue d'espérer
Qu'ils sont à mes côtés.
Mais l'oiseau prisonnier
Commence à désespérer ;
Je continue de rêver
Que je pourrais m'en aller.
Comme l'oiseau prisonnier
Que la vie vient de quitter ;
Moi, j'arrête d'espérer
Je peux plus que pleurer.
2009 ? 2010 ?
Pourquoi maman,
Pourquoi y a la guerre,
Partout sur la terre ?
Dis-moi maman,
Les soldats ils aiment voir le sang ?
Ils aiment se rentrer dedans ?
Tu sais maman,
Y a même des enfants
Qui s'y cassent les dents !
Pourquoi maman,
Pourquoi on leur donne des armes,
Pourquoi on transforme ces gens en âmes ?
Dis-moi maman,
Pourquoi la paix,
Ça reste un secret ?
Tu sais maman,
On dit que c'est une affaire de grands,
Mais pourquoi les grands ils tuent les innocents ?
Pourquoi maman,
Pourquoi y a la guerre,
Partout sur la terre ?
Dis-moi maman,
Les soldats ils aiment voir le sang ?
Ils aiment se rentrer dedans ?
Tu sais maman,
Y a même des enfants
Qui s'y cassent les dents !
Pourquoi maman,
Pourquoi on leur donne des armes,
Pourquoi on transforme ces gens en âmes ?
Dis-moi maman,
Pourquoi la paix,
Ça reste un secret ?
Tu sais maman,
On dit que c'est une affaire de grands,
Mais pourquoi les grands ils tuent les innocents ?
une date antérieure autour de 2009/2010
Petite lueur dans la grisaille du matin
Touche de couleur dans l'immensité d'un champ
Cadeau qui fait plaisir pour les gens qu'on aime
Une petite fleur est née
Douceur dans un monde de morts
Message aux multiples significations
Annonce de l'arrivée du printemps
Une petite fleur est née
Précédant le fruit dans les arbres
Donnant le miel aux abeilles
Et le parfum aux hommes
Une petite fleur est née
Petite lueur dans la grisaille du matin
Touche de couleur dans l'immensité d'un champ
Cadeau qui fait plaisir pour les gens qu'on aime
Une petite fleur est née
Douceur dans un monde de morts
Message aux multiples significations
Annonce de l'arrivée du printemps
Une petite fleur est née
Précédant le fruit dans les arbres
Donnant le miel aux abeilles
Et le parfum aux hommes
Une petite fleur est née
il y a très longtemps
Je l'ai vu bébé, naissant
Dans la douceur du printemps.
Je l'ai vu enfant, jouant
Aux milieux des fleurs de champs.
Je l'ai vu adolescent, riant
avec tous les autres et plaisantant.
Je l'ai vu adulte, se mariant
Et on lui disait "T'auras un bébé au printemps !"
Je l'ai vu vieillissant,
Regardant les enfants de son enfant jouer dans les champs.
Je l'ai vu mourant,
Mais toujours plaisantant.
Et maintenant il est là, gisant
Dans son lit de fleurs du printemps,
Dans un lit de fleurs des champs
Il est mort, plus personne ne rit maintenant
Je l'ai vu bébé, naissant
Dans la douceur du printemps.
Je l'ai vu enfant, jouant
Aux milieux des fleurs de champs.
Je l'ai vu adolescent, riant
avec tous les autres et plaisantant.
Je l'ai vu adulte, se mariant
Et on lui disait "T'auras un bébé au printemps !"
Je l'ai vu vieillissant,
Regardant les enfants de son enfant jouer dans les champs.
Je l'ai vu mourant,
Mais toujours plaisantant.
Et maintenant il est là, gisant
Dans son lit de fleurs du printemps,
Dans un lit de fleurs des champs
Il est mort, plus personne ne rit maintenant
une date antérieure autour de 2009
Scintillement dans la nuit
Lumière dans l'obscurité
Astre parmi tant d'autres
Une petite étoile
Émerveillement des bambins,
Travail des astronomes
Contemplation des amoureux
Une petite étoile
Parmi des milliers
Tu parsèmes le ciel
Quand le soleil s'est couché
Une petite étoile
Compagne de la lune
Née pour s'éteindre
Après plusieurs centaines d'années,
Une petite étoile
Scintillement dans la nuit
Lumière dans l'obscurité
Astre parmi tant d'autres
Une petite étoile
Émerveillement des bambins,
Travail des astronomes
Contemplation des amoureux
Une petite étoile
Parmi des milliers
Tu parsèmes le ciel
Quand le soleil s'est couché
Une petite étoile
Compagne de la lune
Née pour s'éteindre
Après plusieurs centaines d'années,
Une petite étoile
quelque part autour de 2009
La petite fille de blanc vêtue,
A pas lents avance dans la rue.
Elle s'enfonce dans l'obscurité,
Cet ange ne voit pas le danger.
L'homme s'approche dans le noir,
Il s'approche sans se faire voir.
Il saisit la fillette au désespoir,
De l'espoir nul ne peut percevoir.
Son acte est et restera sans appel,
Il ne veut que ce plaisir trop cruel,
S'il faut salir la pudeur angélique,
Il le fera ; nul n'ose la critique.
La petite fille est à jamais gravée,
Par l'homme n'ayant qu'une volonté.
Son cœur a été brisé et s'est envolé,
L'âme enfantine a perdue sa légèreté.
La petite fille de blanc vêtue,
A pas lents avance dans la rue.
Elle s'enfonce dans l'obscurité,
Cet ange ne voit pas le danger.
L'homme s'approche dans le noir,
Il s'approche sans se faire voir.
Il saisit la fillette au désespoir,
De l'espoir nul ne peut percevoir.
Son acte est et restera sans appel,
Il ne veut que ce plaisir trop cruel,
S'il faut salir la pudeur angélique,
Il le fera ; nul n'ose la critique.
La petite fille est à jamais gravée,
Par l'homme n'ayant qu'une volonté.
Son cœur a été brisé et s'est envolé,
L'âme enfantine a perdue sa légèreté.
06/01/2010
Ton amour t'a donné
Une étoile nouvelle
Un rire dans le ciel
Une fleur juste née
Soldats et poupées
Plaisir des bambins
Et le joli petit train
Une fleur juste née
Avant le fruit sucré
Du pollen, des abeilles
Une grâce sans pareille
Une fleur juste née
Chauffe la pierre glacée
Doux parfum d'aurore
Brillant sourire encore
Une fleur juste née
Une lueur émerveillée
Dans le gris matinal
Chaleur hivernale
Une fleur juste née
Des mots déployés
Aloès ton chagrin
Amour joie et dédain
Une fleur juste née
La saison arrivée
Premiers bonheurs
Eclat de couleurs
Une fleur juste née
Prairie d'immensité
Battements de cœur
Toutes ces douceurs
Une fleur juste née
Ton amour t'a donné
Une étoile nouvelle
Un rire dans le ciel
Une fleur juste née
Soldats et poupées
Plaisir des bambins
Et le joli petit train
Une fleur juste née
Avant le fruit sucré
Du pollen, des abeilles
Une grâce sans pareille
Une fleur juste née
Chauffe la pierre glacée
Doux parfum d'aurore
Brillant sourire encore
Une fleur juste née
Une lueur émerveillée
Dans le gris matinal
Chaleur hivernale
Une fleur juste née
Des mots déployés
Aloès ton chagrin
Amour joie et dédain
Une fleur juste née
La saison arrivée
Premiers bonheurs
Eclat de couleurs
Une fleur juste née
Prairie d'immensité
Battements de cœur
Toutes ces douceurs
Une fleur juste née
03/07/2010
C'est la douce mélodie glacée
De mes sanglots empoisonnés
Et habitée par cette haine
Dans une galaxie lointaine
Ta lame n'est que l'archer
Sur mon coeur ensanglanté
Archer qui glisse et crisse
Sur ce violon de pierre lisse
L'âcre senteur de la terreur
Traîtresse tout en froideur
Remplit l'air de désespoir
Mourons doucement ce soir
Tourbillon sans couleurs
Noire erreur sans douceur
La vie s'éloigne et me salue
Au revoir époque révolue
Et un dernier parfum sucré
Goût des petits bonbons dorés
Petits cachets d'amer poison
À t'en faire perdre la raison.
C'est la douce mélodie glacée
De mes sanglots empoisonnés
Et habitée par cette haine
Dans une galaxie lointaine
Ta lame n'est que l'archer
Sur mon coeur ensanglanté
Archer qui glisse et crisse
Sur ce violon de pierre lisse
L'âcre senteur de la terreur
Traîtresse tout en froideur
Remplit l'air de désespoir
Mourons doucement ce soir
Tourbillon sans couleurs
Noire erreur sans douceur
La vie s'éloigne et me salue
Au revoir époque révolue
Et un dernier parfum sucré
Goût des petits bonbons dorés
Petits cachets d'amer poison
À t'en faire perdre la raison.
03/07/2010
Viens, avec moi, donne moi ta main
Viens, que je t'emmène au loin
Viens, voir l'endroit où je t'emmène
Viens, viens là où je te traîne
C'est juste là, au bout du chemin
Je te jure qu'on y sera avant demain
Tu verras, je sais que ça te plaira
Tu verras, tu verras quand on y sera.
Viens, avec moi, donne moi ta main
Viens, que je t'emmène au loin
Viens, voir l'endroit où je t'emmène
Viens, viens là où je te traîne
C'est juste là, au bout du chemin
Je te jure qu'on y sera avant demain
Tu verras, je sais que ça te plaira
Tu verras, tu verras quand on y sera.