In English, please ~

04-01-2014 à 19:23:24
-Who are you beyound your mask ?
Indeed, who are this men ? Who is this phantom ? It is real ?

-I am the froam in the shores, I whisper on the waves and mes songs touche the roots of moutains. If the sadness had an odor, it stick in my skin. Are you smell an odor, sweety dove ?

-You fill with your fragance all my world of weaks dreams. I smell the dust. I smell the dry up honey. If I can smell your lash, the tears will be fall on my lips.
Indeed, he smelt as the darkness of torn souls, the lost hopes which crwals among. I smelt a rotten mother. I smelt your yell of misery.

-My make-up smiles for me, even if in my mouth, I have the bitter taste of purple berry. I'm gonna puke my feels : the life sucks. The world is filthy. People can't change, futur will be the worst era of our history, the earth is already dead. And you, my dear shard of candour, you are already lost : no pity, no beauty, and ultimate mercy, no forgivness. Lucky boy ! , your fate is immutable. Everybody is guilty. Humanity have upsted the God, and Pan had choices your sanction.
He smiles, and his black mouth scowled a vile joy. His eyes are dead stars- implosion. Sarcastic laught, the strenght of the pain in his cruels words. Monster. True monster or a monster of truth.
Thus, humanity is allowed at slowy perishes.
He tilted his head.
Happy ? Beyound my mask, I am the sorrow of the earth. And you, beautiful sweetheart, you, little boy, are the victim of my silent fury. Go to back with the other humans, join the dance of your disgusting species.

-No. I'm not a victim. I am the hoppe ; I am not the dusk, the last star in the sky, I am the new dawn, and I'm gonna find the redemption. Not for me, not for us... But for our mother Gaïa. I'm gonna save you.
He tookes the hand of the sad clown. He helds his shaky fingers.
We were going to walke to gorgeous road. Tough road, horrible road... The most beautiful road.
Behind their steps, they let marvelous poppies fields.
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23-01-2014 à 13:18:06
Snow silver snow, you fall in my eyes,
Sweet silver snow, you burn my skin,
I cry and I scream, but you swallow my pain,
My tears turn to ice, my hearth beat in vain :
I am already dead, every day is a long, long, long death throes.

Snow, wonderful snow, snow, obsessive snow,
Her dance is more beautiful than my life,
I'm lost in your movements, I can't fight anymore,
My deleterious fascination ; ô delicious snow,
Porter of the nights, porter of the days,
Snowflakes of dusk and down,
Those liquor and honey,
Of the too extensive blue blue sky.
15-02-2014 à 05:00:07
Bloodies skies, of the murdered heavens,
Bleeds as flat hearts : the dreams flies aways,
In scared to be rejects.

They lost ; I cry, in weird and crazy laught.

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Odor of the leaves, for my sunshine death,
Colours of the fields, colours of the prosperity,
I heard the songs of shy birds : they fall,
They falll, the can't fly, withouth their wings,
Cut's by the reality.

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Allowed to suffer,
I welcome my pain :
It go to fantastic trip,
In the sullied countries,
Of my brokens hopes.

My tears bleeds the fire of the colds stars wich yells ; my eyes are explodes to lliquides galaxies.

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Fire fire in my eyes,
Wonderful space,
Emprisoned, and liberated,
Has run in my cheeks

The stars pass away.
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Forests can't be protects my dreams, they are not allowed to survive in this wolrd. And the price of the hapiness is too expensive for me : I would be lost my hoppes. But I refuse. No abdication. It's not an alternative, this solution doesn't be exist. I don't see this easy door, I search the secret exit, the gate of the liberation of the imagination... Where fantasy became reality. I know that this place is real. It's a person, one person, the most important, the most beautiful : my rainbow of colours, sounds and possibles futurs. The light of whole cosmos in flesh. Forests can't be protects my dreams, but she can. She can everything. She is my hope, and when the world tears my joy, I smile because of her.
I'm never alone, I'm never lost. Even if I didn't see the light in my darkness road, they was there. She singings with the drums of my heart.
07-12-2017 à 21:52:32
1 > première trad moche et foireuse (en cours)
2 > repasser après un ou deux jours en se concentrant particulièrement sur la conjugaison
3 > affinages du vocabulaire
4 > dernière version, restructurer les phrases si nécessaire


Every morning was a torture, a cold swarming of pain ragging in his mumbed members. He opened the eyes to find this old ordinary lover who will grabed onto him until the grave. The routine setted in, scrubed her cogs of habit and his iterative movements wich he didn't even notice.(Ignorant) the pain (lancinnant à ses reins courbés), he (tendait) an hand to (se saisir de la clinique) box of pills, (se redressant à grande peine pour mieux) swalloed them. And so some minuts, an eternity of torture to (s'impatienter) of their (bienfaiteurs) effects. More en more (minimes), more and more (vains). He was evident and totally normal that his (organisme s'adapte) to the treatment to the point where it was no longer enable to (soulager) him. He had the finesse of a (rictus cynique), considered to grab a blade, (à pincer une veine) between two (ongles) to make flowed the (fiel pharmaceutine) what had, (à la longue) might subtitute his blood.

Chaque matin était un supplice, une déferlante glacée de douleur se déchainant à ses membres engourdis. Il ouvrait les paupières pour retrouver cette vieille amante coutumière qui n’aurait de cesse de l’agripper, probablement jusqu’à la tombe. La routine s’installait, décrassant ses rouages d’habitudes et de gestes itératifs dont il ne s’apercevait même plus. Ignorant la douleur lancinant à ses reins courbés, il tendait une main pour se saisir de la clinique boîte de comprimés, se redressant à grande peine pour mieux les avaler. Quelques minutes alors, une éternité de torture à s’impatienter de leurs effets bienfaiteurs. De plus en plus minimes, de plus en plus vains. Il était évident et parfaitement normal que son organisme s’adapte au traitement au point de ne plus parvenir à s’en soulager. Il eut la finesse d’un rictus cynique, songeant brièvement à se saisir d’une lame, à pincer une veine entre deux ongles pour en faire s’écouler le fiel pharmaceutique qui avait, à la longue, dû remplacer son sang.



Toujours plus fort, toujours plus assommant. Autant en finir sur le champ, piaffait-il parfois au réveil, lorsque la chienne géhenne empêchait jusqu’au moindre mouvement, le privant d’une journée d’étude supplémentaire. D’aucuns auraient ri de ce zèle caractéristique du fils de riches qu’il était, mais les cours et leur mesure régulière, leur incessant babillement humain, l’éprouvaient au moins tout autant qu’ils lui permettaient de supporter sa carcasse. De vivre dans sa peau. De s’extirper hors de ses draps défaits, humides de sueurs nocturnes pour inlassablement constater l’horreur du moignon. L’Absence.
Et se glisser au harnachement d’une nouvelle jambe factice dont le boitillement incessant faisant s’entrechoquer ses dents de fureur mal contenue.
C’était la salle de bain et ses installations ensuite, la barre à laquelle il se soutenait pour gagner la baignoire et s’immerger dans l’eau. S’oublier, pour encore un instant. C’était l’habillement difficile, l’acte aussi cocasse qu’humiliant d’enfiler à une jambe sans corps la seconde chaussure. C’était la canne, le claquement régulier et confortant. La crainte permanente du pas de trop dans les escaliers qui le mènerait à une chute qui, cette fois, l’achèverait pour de bon. C’était la fierté, chaque jour, chaque matin, à se savoir encore capable de descendre les marches, têtu qu’il était à se vouloir à l’étage. Dédaignant leur pitié, l’inquiétude dans leurs yeux. C’était faire du moindre pas une victoire jusqu’à la voiture. Jusqu’à atteindre la carrosserie charbonneuse, effleurer le siège du bout des doigts, parvenir à s’y hisser. Ne pas regarder en arrière mais deviner l’épreuve couronnée.
C’était être lui, chaque jour depuis l’incident.
C’était pouvoir se lever un matin de plus. Et regarder distraitement les champs défiler, se dessiner à la vitre comme une ligne parallèle au monde. Un matin de plus dans le silence poli d’un Félix scrutateur, levant de temps à autre un œil au rétroviseur pour s’assurer du bien-être de son patron et protégé, sans une parole de trop. Un matin de plus à sortir, affronter le monde et ce qu’il avait de plus impitoyable. La cour d’un lycée de ville. Les rires et les regards curieux, bouffés de malaise à le constater. L’agitation stérile dans toute sa splendeur. Puis le crissement retentissant des pneus de vélo sur l’asphalte, proches. Trop proches.
« Désolé Withers ! » Pépia la gueule rouquine d’un Elliot Liddel en le frôlant, manquant presque de le faire vaciller sur sa canne. Johan s’écarta davantage, par simple acquit de sécurité, pestant à voix basse, manquant une insulte dirigée à ce dos malappris, ne rencontrant que celui d’une fille. La tresse écarlate de soleil naissant d’une donzelle, soutenue au porte-bagage.
L’engin immobile, elle fut la première à descendre, délayant ses jambes interminables serties d’une jupe trop longue pour être à la mode. Ses chaussures usées au sol, elle culminait presque à la taille de Liddel, ce qui relevait manifestement de l’exploit. Ils échangèrent quelques mots, un sourire de la part du garçon auquel elle n’accorda aucune réponse, rehaussant le sac à son épaule pour s’écarter de quelques pas et promener sur l’endroit un étrange regard contemplatif. Elle tenait ainsi plus de l’animal que de la fille, humant l’air sous les œillades médusées de quelques prétendantes au joli cœur rouquin du coin. Semblant les ignorer. Semblant ne pas même les avoir remarqués.
Elle n’accrocha que son regard, cillant à peine, au moins autant que lui, avant de lever une simple main, discrète. Un signe. Une excuse ou une salutation, Johan peina à en déceler le sens alors qu’elle s’éloignait déjà, gagnant le bâtiment principal sans se retourner.
Il se perdit brièvement à sa silhouette, certain de ne l’avoir jamais croisé auparavant et pourtant persuadé d’avoir partagé une vie ou milles à ses côtés.
Dans son dos, l’ombre de Félix se projeta, précédant le tranquille roulis de sa voix. « Tout va bien monsieur ? » Demanda-t-il simplement tandis que Johan s’accorda quelques secondes, s’efforçant de ne pas balbutier les mots qu’il soupira à la place.
« Tout va bien, tu peux rentrer. »
Un matin comme tant d’autres, entaché d’écarlate.
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