Introduction

15-01-2012 à 16:01:51
Dans le monde des mystères, dans le monde merveilleux que vous allez découvrir, chers Dieux, se trouve le royaume de Beldron. Le personnage que j'ai choisi de suivre, celui sur lequel j'ai misé pour cette aventure, c'est Vrok Lamenoire, un orc élevé par un clan humain. J'ose penser qu'il sera le vainqueur de ce nouveau conflit que les mortels vont créer. Vous l'avez deviné, mes chers amis, je vous propose un nouveau jeu. Choisissez le mortel sur lequel vous allez miser, et suivez sa vie comme si c'était la votre.
Le but de ce nouveau jeu, mes frères de sœurs, est d'incarner un mortel, et de faire en sorte qu'il grimpe les échelons pour gagner ce conflit. Je vais vous le présenter avec mon personnage, Vrok.

Récemment, Beldron a commencé à être le théâtre d'étranges évènements. De nouvelles créatures font leur apparition et attaquent les groupes de voyageurs isolés. Les assauts sont de plus en plus fréquents et violents dans les montagnes, principalement sur les trois passages commerciaux. Des meurtres étranges sont commis dans toutes les châtellenies. L'armée semble de plus en plus corrompue. Les guildes et clans semblent retourner leur veste, pour passer en position stratégique. La population a peur et semble plus méfiante que jamais. Les dragons, symboles de violence et de sagesse, reprennent leur forme d'origine un par un et deviennent ivres de rage. Ils attaquent les villages et cherchent par tous les moyens de faire couler le sang. Les mages de la cour de Bordazur ont baptisé cette soudaine maladie dragonique "Septula". Seuls quelques dragons parviennent à résister au virus et à garder leur forme humaine.
Vrok et son petit groupe d'aventuriers, sont de retour dans le Nord de Beldron, après six ans de voyage. Ils sont au passage commercial Sud Ouest, quand a lieu une attaque de lycanthropes sans précédent. L'armée leur dit de fuir, qu'ils s'en sortiraient, comme d'habitude. Vrok, lui, n'est pas de cet avis. Les loups-garous doivent être une bonne centaine, c'est à dire plus que lors de n'importe quelle attaque, lorsqu'il ordonne à ses confrères de se lancer dans la bataille.
Très rapidement, les hommes bêtes franchissent le mur d'enceinte. Et c'est là que les vrais ennuis commencent...


Rien de très excitant, vous dites-vous, mais cette attaque pourrait en cacher une autre, qui sait ?
Alors je n'ai plus qu'une chose à vous dire : Je vous souhaite une agréable partie.
Lorsque je te serre la main, c'est une souffrance que j'appréhende. Tu ne sentiras pas le tonnerre de ma haine s'abattre sur ta nuque. Tu ne pourras que pleurer, et saigner. Saigner autant que mon dégoût le désire. Je me délecterai du spectacle macabre de tes chairs broyées sous mon poing vengeur. Personne n'est innocent.
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